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Polémique Miss France : Miss Aquitaine et Miss Provence destituées après des propos injurieux

Une vidéo privée fuite, des insultes fusent, et les écharpes sont retirées. L'élection de Miss France 2026, qui devait être une célébration de l'élégance et de la personnalité, est secouée par une polémique d'ampleur. Miss Aquitaine et Miss Provence ont été destituées de leurs titres respectifs suite à des propos dénigrants tenus à l'encontre de leurs concurrentes.

L'événement a eu un écho massif dans les médias français, avec un volume de buzz estimé à 20 000 recherches et mentions, reflétant l'intérêt du public pour ce concours iconique et les règles de déontologie qui l'entourent. Cet article retrace les faits vérifiés, le contexte de cette sanction sans précédent et les conséquences pour l'édition 2026.

La vidéo qui a tout déclenché

Le déroulement de la soirée du 9 décembre 2025 a basculé avec la diffusion d'une vidéo amateur. En marge de l'élection, deux candidates régionales, Julie Zitouni (Miss Provence) et Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine), apparaissent en train de commenter, avec virulence, le physique et le comportement des douze demi-finalistes.

Les propos tenus, bien que filmés dans un cadre privé et supposé confidentiel, comportaient des insultes et des jugements méprisants. Selon les médias qui ont relayé l'incident, notamment Le Parisien et La Provence, les deux jeunes femmes utilisaient des termes vulgaires pour désigner leurs concurrentes.

Coulisses d'un concours de beauté

Dès la diffusion de ces images sur les réseaux sociaux, la réaction des internautes et des comités régionaux ne s'est pas fait attendre. Le "clash" en coulisses est devenu le sujet central de l'édition 2026, éclipsant presque l'élection de la lauréate.

Les sanctions : destitution immédiate

Face à la gravité des faits, les comités directeurs des régions concernées ont pris une décision radicale. Dans un communiqué officiel rapporté par plusieurs sources fiables, il a été annoncé que Julie Zitouni et Aïnhoa Lahitete étaient déchues de leur titre de Miss.

"Ces paroles et cette attitude sont en totale contradictions avec les valeurs que nos comités s'efforcent de défendre", ont indiqué les responsables des comités Miss Provence et Miss Aquitaine.

La sanction est ferme : retrait de l'écharpe régionale et interdiction de poursuivre le parcours vers le titre national. Cette décision confirme la volonté de l'organisation Miss France de maintenir une image irréprochable et de sanctionner tout comportement dérogatoire aux valeurs de bienveillance prônées par le concours.

L'excuse tardive

Prises en flagrant délit de médisance, les deux candidates ont tenté de sauver la situation en s'excusant publiquement sur leurs réseaux sociaux respectifs. Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine) et Julie Zitouni (Miss Provence) ont reconnu leurs torts, invoquant la fatigue et le stress de la compétition. Cependant, comme le souligne la presse locale, ces excuses n'ont pas suffi à apaiser la colère des organisateurs et des partenaires du concours.

Le contexte : Miss France, un concours aux règles strictes

Pour comprendre la gravité de cet événement, il faut replacer Miss France dans son contexte culturel. Ce concours n'est pas qu'une simple compétition de beauté ; c'est une institution télévisée, suivie par des millions de téléspectateurs chaque année sur la chaîne M6.

L'image de Miss France repose sur un triptyque : la beauté, l'intelligence, et la rigueur morale. Les candidates représentent leur région, arborent une écharpe et deviennent des modèles pour de nombreuses jeunes filles. Par le passé, le concours a déjà dû gérer des polémiques (comportement en soirée, photos d'archives, etc.), mais la déposition d'une Miss en cours de mandat est un événement relativement rare et toujours très médiatisé.

L'organisation, dirigée par Sylvie Tellier pendant de nombreuses années (la direction a évolué, mais les valeurs restent), est intransigeante sur le respect des autres candidates. La solidarité est une des clés du concours.

Écharpe Miss France et règlement

Répercussions immédiates et réaction de la Miss France élue

Cette affaire a eu des répercussions immédiates sur le déroulement de la soirée et la perception du public.

La réaction de Miss France 2026

Hinaupoko Deveze, élue Miss France 2026 quelques jours plus tôt, a réagi à la polémique lors d'une interview sur M6. Elle a pris ses distances vis-à-vis des propos tenus par ses "anciennes" concurrentes, rappelant que : "Je ne tolère pas ce genre de comportement." Son message est clair : l'entente et le respect sont fondamentaux, même en coulisses.

L'impact sur les régions

Les comités régionaux de Provence et d'Aquitaine ont dû gérer un dossier délicat. Non seulement ils perdent leur représentante locale, mais ils sont aussi associés négativement à la polémique. Pour les sponsors et les organisateurs locaux, c'est une perte d'image qui nécessite une reconstruction rapide en vue de l'édition suivante.

Analyse : Pourquoi cette polémique touche tant les Français ?

Le succès de ce buzz (20 000 recherches) s'explique par plusieurs facteurs psychologiques et sociétaux : 1. Le goût du "behind the scenes" : Les Français adorent découvrir ce qui se passe vraiment derrière le décorum télévisé. 2. La leçon de morale : L'opinion publique semble apprécier que l'organisation ne laisse pas passer les comportements toxiques, renforçant l'aspect "école de la vie" du concours. 3. L'identification : Miss France est un événement populaire qui rassemble toutes les générations. Une polémique sur ce sujet devient un sujet de discussion de famille.

Le regard vers l'avenir : Quelles conséquences pour 2027 ?

Cette affaire va-t-elle changer la donne pour les futures éditions ? Il est probable que le règlement intérieur des candidates soit encore plus scruté. Les comités régionaux risquent d'intensifier la formation de leurs lauréates sur la communication et la gestion de l'image, tant numérique qu'humaine.

Pour l'édition 2026, l'épisode est clos. Miss Provence et Miss Aquitaine ont quitté le navire. L'attention se porte désormais entièrement sur le règne de Miss France 2026, Hinaupoko Deveze, qui devra incarner cette unité retrouvée.

En conclusion, si la polémique a nui à l'image de deux candidates, elle a surtout rappelé une règle d'or du monde du spectacle et des relations publiques : en 2025, aucune caméra n'est jamais vraiment éteinte.

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