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Glen Powell : Le Box-Office en Ébullition avec « Running Man » et l'Ascension d'une Star

L'année 2025 marque un tournant décisif dans la carrière de Glen Powell. Alors que le buzz monte crescendo autour de sa nouvelle œuvre majeure, « Running Man », le cinéma américain s'apprête à vivre un week-end d'ouverture cruciale. Le film, sous la direction du réalisateur acclamé Edgar Wright, positionne l'acteur texan non plus seulement comme un talent émergent, mais comme un véritable "bankable star", capable d'attirer les foules et de rivaliser avec des franchises établies.

Ce qui se joue actuellement est bien plus qu'une simple sortie cinématographique : c'est le test ultime de la mécanique hollywoodienne, où le charisme de Glen Powell affronte la nostalgie et la concurrence féroce.

Le Box-Office s'embrase : La bataille du numéro 1

Selon les dernières prévisions du box-office, ce week-end s'annonce comme l'un des plus serrés de la saison. « Running Man », le remake du classique de science-fiction inspiré du roman de Stephen King, et « Now You See Me: Now You Don't » se disputent la première place avec des projections très similaires.

Les estimations, rapportées par des médias spécialisés comme Box Office Theory et Variety, suggèrent que chacun de ces films pourrait engranger entre 14 et 15 millions de dollars (voire davantage selon certaines sources montant jusqu'à 17-18M$) lors de leur week-end d'ouverture. Le suspense est total, alors que « Predator: Badlands », sorti la semaine précédente, tente de résister à l'assaut de ces nouveaux venus pour garder sa couronne.

Pour Glen Powell, le rôle est vital. Porté par une campagne marketing agressive et des avant-premières qui ont enthousiasmé la critique, « Running Man » est présenté comme le film d'action de l'année. Si le film parvient à devancer la concurrence, ce sera la consécration de son statut de tête d'affiche.

Contexte : De l'ombre à la lumière

Pour comprendre l'ampleur de cet événement, il faut remonter le fil de la carrière de l'acteur. Né à Austin au Texas, Glen Powell a mis du temps à s'imposer. D'abord repéré dans des séries comme Scream Queens, il a gravi les échelons, passant par des rôles secondaires notables jusqu'à la consécration.

Sa biographie est celle d'un travailleur acharné. Avant de porter « Running Man », Powell s'est déjà fait un nom : il a marqué les esprits aux côtés de Tom Cruise dans « Top Gun: Maverick », un film qui a redynamisé le genre de l'action aérienne et lui a ouvert les portes des grosses productions. Ses origines, mêlant descendance polonaise par son père et islandaise par sa mère, lui confèrent une allure unique qui a séduit Hollywood.

Le choix de Powell pour incarner Ben Richards dans « Running Man » n'est pas anodin. Il s'agit de reprendre un rôle mythique, tenu par Arnold Schwarzenegger en 1987. C'est un pari risqué, mais l'acteur s'est confié sur le sujet, affirmant vouloir honorer l'héritage du film tout en apportant sa propre touche à ce récit dystopique où un homme est traqué par une nation entière pour le divertissement des masses.

« Les fans de Schwarzenegger vont me haïr, mais je préfère Running Man de 2025 avec Glen Powell. » — Extrait de la critique cinématographique

La révision d'Edgar Wright : une œuvre nerveuse et percutante

Le réalisateur britannique Edgar Wright n'est pas un inconnu. Derrière des succès tels que la trilogie « Cornetto » (Shaun of the Dead, Hot Fuzz) ou Scott Pilgrim vs. the World, il a un style visuel inimitable. Avec « Running Man », Wright livre une relecture moderne du roman de Stephen King.

Les premières critiques louent une mise en scène nerveuse et un rythme effréné. Le film ne serait pas une simple copie du passé, mais une œuvre qui dialogue avec notre actualité, où la violence télévisée et la surveillance sont des sujets plus brûlants que jamais. Le film s'impose, selon les observateurs, comme une œuvre majeure de la rentrée, porté par un casting cinq étoiles et une tension palpable.

L'effet Powell et les réactions du public

Au-delà des chiffres bruts, l'impact de Glen Powell se mesure aussi à sa connexion avec le public et l'industrie. Récemment, l'acteur a été invité spécial de l'émission Star Academy en France. Son enthousiasme et sa présence chaleureuse lors de la projection spéciale à Paris ont montré qu'il maîtrisait parfaitement l'exercice du "star system". Comme le note TF1 Info, Powell se dit "très chanceux" et "ravi" de soutenir les talents émergents, renforçant son image de star accessible et sympathique.

Le débat fait aussi rage parmi les fans de cinéma. Certains puristes restent sceptiques face à un remake d'un classique culte. Cependant, une partie de la critique et du public semble déjà conquise. Certains spectateurs affirment préférer cette version 2025 à celle de 1987, soulignant que le film de Wright parvient à renouveler le genre sans trahir son essence.

Implications immédiates et regard vers l'avenir

Les implications de ce week-end de sortie sont considérables pour Glen Powell et son équipe.

1. Pour Glen Powell : Si « Running Man » dépasse les 18 millions de dollars et domine « Predator: Badlands » et le film de magie, il confirmera son statut d'héritier légitime de l'action hollywoodien moderne. Il deviendra l'un des acteurs les plus demandés, capable de porter seul un blockbuster budget moyen.
2. Pour l'industrie : Ce duel au box-office teste la viabilité des remakes. Une réussite serait un feu vert pour de futurs projets de réadaptation de classiques, avec des acteurs de la nouvelle génération.
3. Les risques : Le marché actuel est volatile. Si le film sous-performe face à la concurrence, il risque d'être relégué au rang de "flop" coûteux, malgré la qualité artistique reconnue.

À l'horizon, la carrière de Powell semble promise à un avenir radieux. Avec une filmographie qui s'étoffe et un instinct certain pour choisir des projets porteurs, il est en passe de devenir ce que Tom Cruise fut pour les décennies précédentes : le roi incontesté du grand spectacle.

En attendant que les chiffres définitifs du week-end tombent, une chose est sûre : Glen Powell a réussi son pari. Il a remis « Running Man » sur le devant de la scène et s'est imposé comme l'homme à abattre d'Hollywood.