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Palmeiras vs LDU Quito : Une bataille historique en demi-finale de la Copa Libertadores

Quand le football sud-américain s’élève au rang de légende, c’est souvent lors de matches aussi intenses que Palmeiras vs LDU Quito en demi-finale de la Copa Libertadores 2025. Ce duel, disputé le 31 octobre 2025 au stade Allianz Parque à São Paulo, restera gravé dans les mémoires comme l’un des plus mémorables de l’histoire du tournoi. Un match de retour où le Palmeiras a accompli une remontée historique, malgré un déficit de trois buts à l’aller, pour s’imposer 4-0 et se qualifier pour la finale face au Flamengo.

Ce qu’il s’est vraiment passé : les faits vérifiés

Selon les sources officielles et les rapports de presse vérifiés, notamment Bolavip Brasil et BOL – Brasil Online, le match a été marqué par plusieurs moments clés qui ont redéfini le cours de la rencontre.

Le gardien Domínguez, un acteur central

Le gardien équatorien José Domínguez, souvent loué pour sa concentration et son calme, a été impliqué dans un incident controversé dès la première mi-temps. Selon Bolavip Brasil, Domínguez a "enroulé" (ralenti volontairement) le jeu contre le Palmeiras, tentant d’allonger le temps de repos, de provoquer des tensions, voire de désorganiser les attaquants brésiliens. Cette tactique, connue dans le jargon comme du "cera" (de l’espagnol cera, cire, pour "en cire", c’est-à-dire ralentir le jeu), a été tolérée par l’arbitre colombien Wilmar Roldán, qui n’a pas sanctionné le comportement du gardien.

"Le gardien a joué avec les limites de la réglementation. Il a allongé les temps de repos, retardé les remises en jeu, et l’arbitre a fermé les yeux", relatait un observateur du match sur Bolavip Brasil.

Cet incident a alimenté la colère des supporters du Palmeiras, mais aussi celle des joueurs, qui ont réagi en accélérant le rythme dès la reprise.

Allan et Veiga : le dialogue derrière la réaction

Dans un entretien exclusif publié par BOL – Brasil Online, le milieu de terrain Allan a révélé avoir eu un "papo sérieux" avec Abel Ferreira, l’entraîneur du Palmeiras, juste avant le début de la seconde mi-temps. Ce dialogue aurait porté sur la nécessité de "changer de registre", de "sortir du jeu passif" et de "marquer vite pour briser la psychologie de LDU".

Quant à Raphael Veiga, l’un des leaders de l’équipe, il a déclaré avec détermination :

"Même si on se prend une cérise, on donne toujours cara a tapa. On ne recule pas. On est Palmeiras. On a une histoire à défendre."

Ces mots, prononcés dans le vestiaire, ont servi de moteur psychologique à l’équipe, qui a réagi comme un bloc.

Les dernières mises à jour : un match en temps réel

Voici un résumé chronologique des événements clés du match, basé sur les rapports officiels et les flux en direct (G1, Eurosport, Sofascore) :

"On ne croyait plus en nous après l’aller. Mais ici, au Parque, on a une force. Le public, le stade, l’histoire… tout pousse à l’intérieur." – Abel Ferreira, entraîneur du Palmeiras, après le match.

Contexte historique : pourquoi ce match est unique

La Copa Libertadores n’est pas n’importe quelle compétition. Elle est le summum du football sud-américain, équivalent de la Champions League européenne, mais avec une intensité, une passion et une histoire qui la rendent unique.

Le Palmeiras, un club mythique

Fondé en 1914, le Palmeiras est l’un des clubs les plus titrés du Brésil. Il a remporté 4 Coupes Libertadores (1999, 2020, 2021, 2025), mais aucune depuis 2021. En 2025, l’objectif était clair : retrouver la "Gloria Eterna" (la Gloire Éternelle), comme on l’appelle dans la région.

Avant cette demi-finale, le Palmeiras avait perdu 3-0 à Quito lors de la manche aller. Une défaite sévère, surtout contre un club comme LDU Quito, qui n’avait pas atteint une demi-finale de Libertadores depuis 2011.

LDU Quito, l’équipe surprise

Le LDU Quito, club fondé en 1930, a connu son heure de gloire dans les années 2000 (victoire en Copa Libertadores en 2008). Mais depuis, il a été relégué au second plan. Cette saison, il a éliminé des géants comme le River Plate et le Boca Juniors, grâce à une défense solide, une tactique disciplinée, et un jeu collectif sans étoile individuelle.

Son objectif en 2025 ? Réécrire l’histoire. Et pourtant, malgré une avance de 3 buts, il a échoué devant la puissance du Palmeiras.

"On savait qu’ils étaient dangereux au Parque. Mais on pensait avoir assez de mentalité pour tenir. On n’a pas tenu." – Gonzalo Mastriani, attaquant de LDU Quito, après le match.

Effets immédiats : ce que ce match change

Pour le Palmeiras : la qualification, mais aussi une morale renforcée

Avec cette vict