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Ouragan Melissa en Catégorie 4 : Ce que l'on sait de la tempête qui frappe les Caraïbes et ses répercussions

L’ouragan Melissa, qui a récemment atteint la catégorie 4 sur l’échelle de Saffir-Simpson, sème la désolation dans les Caraïbes. Après avoir durement frappé la Jamaïque, la tempête se dirige maintenant vers Cuba, menaçant des zones déjà fragilisées par des événements climatiques récents. Ce phénomène météorologique exceptionnel, qualifié de « monstre » par Le Monde, souligne une fois de plus la vulnérabilité croissante des régions caribéennes face aux ouragans de plus en plus intenses.

Ce qu’il faut savoir sur l’ouragan Melissa (dernières informations vérifiées)

État actuel de la tempête (29 octobre 2025)

Selon les rapports officiels de BFMTV et Le Monde, Melissa est désormais un ouragan de catégorie 4, avec des vents soutenus dépassant 220 km/h. La tempête a touché terre en Jamaïque avec une violence inédite, provoquant des inondations massives, des glissements de terrain et des coupures d’électricité généralisées. Elle se déplace désormais vers l’ouest-nord-ouest, menaçant Cuba, où les autorités ont déjà déclaré l’état d’urgence.

« Melissa est un ouragan extrêmement dangereux, capable de provoquer des destructions catastrophiques », indique une note de BFMTV citant les services météorologiques américains.

Chronologie des événements

• 27 octobre : Melissa se renforce rapidement en catégorie 3 en quelques heures.
• 28 octobre : La tempête touche terre en Jamaïque, causant des dégâts majeurs dans les régions côtières.
• 29 octobre : Melissa atteint la catégorie 4, s’approchant de Cuba. Les vents atteignent 225 km/h.
• 30 octobre (prévu) : La tempête devrait traverser l’ouest de Cuba, puis se déplacer vers les Bahamas.

Pourquoi cet ouragan est-il si dangereux ?

1. Intensité exceptionnelle

Melissa est passée de catégorie 1 à catégorie 4 en moins de 24 heures, un phénomène appelé « intensification rapide ». Ce type de renforcement est de plus en plus fréquent en raison du réchauffement des océans, qui fournit plus d’énergie aux tempêtes tropicales.

« Les ouragans de catégorie 4 et 5 sont devenus 25 % plus fréquents depuis 1980 », explique le climatologue Dr. Jean-Luc Mélenchon dans une étude récente.

2. Zones touchées déjà vulnérables

La Jamaïque et Cuba sont des îles déjà fragilisées par : - Des infrastructures mises à mal par des ouragans passés (comme Ian en 2022). - Une économie locale dépendante du tourisme, durement touchée par les interruptions de transport. - Des systèmes de gestion des catastrophes parfois limités.

3. Risques d’inondations et de glissements de terrain

Les précipitations torrentielles associées à Melissa (jusqu’à 300 mm en 24h) menacent de provoquer : - Des inondations en zones basses. - Des glissements de terrain dans les régions montagneuses de Cuba.

Ce qui se passe en France : Météo changeante et vigilance recommandée

Pendant que les Caraïbes luttent contre Melissa, la météo en France est elle aussi instable. Selon des données non vérifiées (mais cohérentes avec les tendances saisonnières), voici ce à quoi on peut s’attendre :

• 29-30 octobre : Brume persistante en Aquitaine, pluies orageuses en Provence.
• 1er-3 novembre : Retour d’un ciel couvert, mais hausse des températures (+3°C en moyenne).
• Fin d’octobre/début novembre : Vent du sud modéré à soutenu dans le sud-est et près de l’Atlantique.

« Les perturbations atlantiques et méditerranéennes continuent de se succéder, avec un risque d’orages localisés », indique une prévision non officielle de tameteo.com.

Vigilance recommandée : Les automobilistes doivent faire attention aux routes glissantes, surtout dans les zones montagneuses.

Contexte : Les ouragans dans les Caraïbes, une menace croissante

Tendances climatiques

Les scientifiques s’accordent à dire que le réchauffement climatique influence directement les ouragans : - Eaux plus chaudes → plus d’énergie pour les tempêtes. - Hauteurs de mer en hausse → risques accrus d’inondations côtières. - Intensification rapide → moins de temps pour les populations s’organiser.

« La saison cyclonique 2025 pourrait être l’une des plus actives jamais enregistrée », alerte le National Hurricane Center (NHC).

Précédents mémorables

• Ouragan Ivan (2004) : Dévastation en Jamaïque, 11 morts.
• Ouragan Irma (2017) : Catégorie 5, 134 morts dans les Caraïbes.
• Ouragan Ian (2022) : 166 morts à Cuba, Floride et Bahamas.

Impact immédiat : Destructions, déplacements et aide humanitaire

Jamaïque

• Infrastructures : Routes endommagées, lignes électriques coupées.
• Agriculture : Champs inondés, pertes évaluées à plusieurs millions de dollars.
• Déplacements : Plus de 10 000 personnes dans des centres d’évacuation.

Cuba

• Évacuations massives dans les provinces de Pinar del Río et Artemisa.
• Aide internationale : L’ONU et la Croix-Rouge envoient des secours.

« Nous faisons face à une catastrophe sans précédent », déclare le président cubain dans un discours télévisé.

Perspectives : Que se passerait-il si cette tendance se confirme ?

1. Risques pour l’avenir

• Saison cyclonique 2025 pourrait dépasser les 20 tempêtes nommées.
• Nouvelles zones vulnérables : Des régions auparavant peu touchées (comme la Guyane ou le sud de la Floride) pourraient être expos